Jeune Afrique – 31 janvier 2016
Son groupe, Petrolin, s’était positionné pour développer le chemin de fer Cotonou-Niamey. Puis le géant français est arrivé avec son projet de « boucle ferroviaire ouest-africaine »… Écarté, l’homme d’affaires bénino-gabonais entend aujourd’hui recouvrer « ses droits ».