Le Point – 03/07/2019
« C’est un dossier dans lequel pour nous la relaxe s’imposait », ont réagi ses avocats Vincent Brengarth et William Bourdon. « Mais la cour a aussi résisté au lynchage médiatique qui persiste depuis plusieurs années sur la personne de Farouk Ben Abbes, dont on a voulu faire à tort la figure du mal absolu », ont-ils ajouté.