The hacker connecting Luanda Leaks to corruption in the European soccer

The New Yorker – 27/01/2020

Earlier this month, news organizations around the world, including the Times, the BBC, and Le Monde, began publishing stories about corruption involving Isabel dos Santos, Africa’s richest woman. Dos Santos has always maintained that she is a self-made billionaire, but her father, José Eduardo, was the President of Angola between 1979 and 2017, and the bulk of dos Santos’s fortune derives from stakes in Angolan banks, diamond companies, a telecom company, and a cement business. From 2016 to 2017, dos Santos was the chair of Sonangol, Angola’s state-owned oil company.

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  Jan 30, 2020   Lire la suite

Conférence Les Nouveaux Dissidents

Paris – 20/20/2020

En 2018, l’Europe a reculé dans le classement des démocraties réalisé par The Economist Intelligence Unit : la France ou la Belgique comptent toujours parmi les « démocraties imparfaites » et l’Italie chute lourdement en raison d’une « profonde désillusion à l’encontre des institutions politiques, dont le Parlement et les partis politiques, qui se répercute à travers un soutien à des « hommes forts » contournant les institutions politiques ».

Partout en Europe, les démocraties libérales branlent sous les coups de boutoir de leurs ennemis, nationalistes et partisans des régimes forts de tous ordres, mais elles se lézardent aussi des défaites que l’État de droit inflige à ses propres principes. Lutte contre le terrorisme, politique migratoire, lutte contre la haine sur Internet, maintien de l’ordre public, politique de sécurité, secret des affaires conduisent parfois les gouvernements à des accommodements déraisonnables aux libertés publiques : contestation du droit de manifester ou du droit de grève, criminalisation des associations humanitaires, mises en cause de la liberté d’informer, recours excessifs à la force publique, mises en cause des droits des femmes, atteintes à la séparation des pouvoirs, abaissement des corps intermédiaires ou abus de pouvoir numérique…

Les démocrates n’ont-ils pas baissé la garde ? Ne font-ils pas fausse route en faisant leurs, sous prétexte d’efficacité, les attaques des ennemis de la démocratie ? L’avenir de la démocratie ne réside-t-il pas plutôt dans la réaffirmation de ses principes fondateurs, seuls capables de lui permettre d’engager le bras de fer à la fois contre la toute puissance des marchés qui prétendent lui disputer légitimité et souveraineté et les remèdes illusoires des nationalismes ?

Ouverte aux politiques, aux journalistes, aux intellectuels, aux étudiants mais surtout à tous ceux qui s’engagent et agissent pour préserver les libertés publiques, cette conférence européenne invite au sursaut dans un contexte inédit de demande d’ordre et de sécurité et de remise en question, dans son berceau même, de la démocratie. Des voix pour trouver le chemin d’une consolidation des libertés publiques et faire rempart aux ennemis farouches de la démocratie et de l’État de droit.


Avec les interventions de :

François Sureau, haut fonctionnaire, avocat et écrivain – Francesca Guarnieri, avocate (it) – Jean-Marie Delarue, Conseiller d’Etat, ancien président de la Commission Nationale consultative des droits de l’homme – William Bourdon, avocat – Miguel Gotor, historien, ancien sénateur, Movimento Democratico e Progressista (it) –  Catherine Fieschi, politologue, Counterpoint (uk) – Etienne Piguet, Géographe, Vice-Président de la Commission Fédérale des Migrations (ch) –  Michael Foessel, philosophe, Ecole Polytechnique – Laura Boldrini, ancienne Présidente de la chambre des députés (it) – Félix Tréguer, sociologue, Quadrature du net – Mireille Delmas-Marty, juriste, Collège de France – Ramon Feenstra, politiste, Universitat Jaume (es) – Cynthia Fleury, philosophe, CNAM…

  Jan 23, 2020   Lire la suite

Affaire JPK : « Les mises en examen sont particulièrement fondées »

Tahiti Infos – 13/01/2020

L’avocat de la famille de l’ex-journaliste, Jean-Pascal Couraud, Me William Bourdon, a réagi aux propos des avocats de Francis Stein et Miri Tatarata selon qui les mises en examen de leurs clients ne sont pas fondées. Il estime au contraire que « le caractère particulièrement fondé de ces mises en examen s’explique par le souci qu’a eu le juge d’instruction de rassembler tous les éléments à charge ».

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  Jan 14, 2020   Lire la suite