Le Figaro – 28/07/2020
Déjà emprisonné sous Ben Ali, Taoufik Ben Brik vient d’être condamné à un an de prison ferme pour «diffamation» des magistrats.
Le Figaro – 28/07/2020
Déjà emprisonné sous Ben Ali, Taoufik Ben Brik vient d’être condamné à un an de prison ferme pour «diffamation» des magistrats.
Le Monde – 24/07/2020
Arié Alimi, Vincent Brengarth et William Bourdon demandent la suspension des policiers impliqués dans l’interpellation qui a débouché sur la mort de ce livreur de 42 ans.
Cette phrase, Cédric Chouviat l’a répétée sept fois, le 3 janvier, à Paris, lors d’un contrôle routier de police qui a dégénéré jusqu’à la mort, selon un rapport d’enquête dont Mediapart et Le Monde ont pu prendre connaissance.
« J’étouffe ! » Le cri d’agonie est répété sept fois. Ce sont les derniers mots prononcés par Cédric Chouviat, le 3 janvier 2020, lors de son interpellation par la police quai Branly, au bord de la Seine, à Paris.
Au dernier jour du procès de Lamine Diack à Paris, les avocats de l’ex-président de l’athlétisme mondial ont plaidé la relaxe pour leur client, soulignant notamment son grand âge (87 ans). Jugement le 16 septembre.
Une faute éthique, un manque de vigilance, mais «pas un crime»: la défense de l’ancien patron de l’athlétisme mondial Lamine Diack, jugé à Paris pour corruption sur fond de dopage en Russie, a demandé jeudi au tribunal d’être indulgent et de tenir compte de son âge.
William Bourdon était l’invité de Paul Jorion
L’ancien dirigeant accuse le ministère d’avoir fait pression pour le contraindre à la démission en février, après les révélations de viols et agressions sexuelles au sein de la Fédération des sports de glace.
Après avoir raconté qu’ils avaient été bousculés par un bénévole d’une association d’aide aux migrants, la version des policiers a été démontée par une vidéo
Selon nos informations, trois CRS sont renvoyés devant la justice, accusés d’avoir menti pour couvrir l’un des leurs, coupable de violences contre un membre d’ONG.
Cette proposition de loi aurait pour corollaire « d’étendre la logique de suspicion tout en fabriquant de l’impunité », estime l’avocat Vincent Brengarth
Avocats du collectif de l’opposition qui a signalé à la CPI des atteintes aux droits de l’homme, William Bourdon et Vincent Brengarth ont répondu au Point Afrique.
Poussé à la démission par la ministre des Sports, l’ancien président de la FFSG, Didier Gailhaguet, réclame une indemnisation en raison du préjudice subi.
Une plainte a été déposée jeudi à Paris contre l’ex-premier ministre ivoirien et actuel adversaire du président Alassane Ouattara. Elle porte sur des faits présumés commis par la rébellion des Forces nouvelles qu’il a dirigée de 2003 à 2011.
L’ avocat français William Bourdon, fondateur de l’association Sherpa dont l’objet est de « défendre les victimes de crimes commis par des opérateurs économiques » et qui défend entre autres Edward Snowden, parle à Frank Barat d’état de droit aujourd’hui en France, de la multiplication des lois liberticides, de l’aspect de plus en plus autoritaire du gouvernement français et des poursuites judiciaires possibles.
Pour William Bourdon et Vincent Brengarth, les avocats du SNJ qui avaient saisi le Conseil d’Etat, « dans sa sagesse, le gouvernement a reculé, craignant sans doute une censure sur une initiative portant gravement à la liberté de la presse et à la neutralité de l’Etat ».
Qualifiant les faits de « crimes contre l’humanité », le Front national de défense de la Constitution dénonce un usage disproportionné de la force lors des manifestations du 22 mars.
Alors que l’Etat peine à clarifier les modalités de distribution des masques pour la fin du confinement, son rôle est questionné. Relève-t-il de sa responsabilité de fournir gratuitement les masques de protection ? Entretien avec William Bourdon, avocat, et Alain Laurent, philosophe.
Une partie des milieux judiciaires estime que la haute juridiction administrative ne défend pas suffisamment les libertés fondamentales face aux mesures du gouvernement.
L’avocate Marie-Laure Dufresne-Castets souligne, dans une tribune au « Monde » que l’ordonnance prise en urgence par le gouvernement sur les congés payés en entreprise aboutit à mettre en quarantaine le code du travail.